En finir avec la complaisance, tel était le leitmotiv de ce stage. Cette injonction est malgré tout à utiliser avec parcimonie, en fonction de son grade. C’est en effet plus clair avec quelques années d’expérience. La confrontation vit, elle ne s’arrête pas à une attaque ou à une suite d’attaques cadencée. Le rythme évolue en fonction des actions et des réactions.
La prise de conscience des appuis, de leur qualité, de l’équilibre conditionneront le placement, la vitesse du coup et sa précision.
l’esprit doit être vif pour intégrer les ajustements ou les changements initiés par son partenaire/adversaire. Le pratiquant devra revoir constamment sa variation, s’adapter au combat, à la situation.
Déplacement, changement d’axe, évolution de la distance de combat, contre-attaque. l’ensemble sur plusieurs temps, ou chacun œuvre pour préserver son intégrité physique.
La 2ème partie basée sur Tekki Niddan, mettait en évidence les principes de la première partie, sur des techniques du kata (figures imposées). Elle mettait en lumière des variations possibles d’applications.
En synthèse, prendre conscience de sa pratique et l’adapter en fonction des évènements. Plus de complaisance mais une intelligence situationnelle.
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